et voici la fin !!!
peut etre une suite, pas sur par contre !
Végata prit tout de même le temps de prendre une douche, se changer et partir en volant vers la clinique, qu’il ne localisait pas du tout. Il fut obligé de demander « gentiment » aux passants, et vous savez comme Végéta est très gentil lorsqu’il s’adresse à un peuple très inférieur à lui. Il trouva la clinique et monta au 1er étage, il tourna et retourna en rond dans le bâtiment et s’énerva : son énergie se concentra mais une infirmière qui passait par là, le renseigna et il se dirigea vers la chambre de Bulma. Il vit Songoku devant la porte. Il était plutôt pale car il n’aime pas les hôpitaux (eh oui hôpitaux riment avec piqûres !). Végéta le vit et avança de plus en plus lentement. Les parents de Bulma, ainsi que Chichi et Goku décidèrent d’aller prendre un café : Bulma était donc seule dans sa chambre. Il entra vite fait et la vit, plus belle que jamais, mais avec quelques cernes sous les yeux. Elle était endormie. Il tourna la tête et vit un petit bout de chou dans un berceau. Il s’approcha et le regarda fixement. Il avait une houppette violette et les yeux bleus de sa mère ; il ne ressemblait en rien à lui. Mais ce qui était sur, c’est qu’il dégageait une aura impressionnante : aucun doute, c’était bien son fils, le prince Trunks.
« N’est il pas magnifique ? Il m’a donné du fil à retordre…
-Mmm, tu es douillette !
-COMMENT, ce n’est pas toi qui la porté pendant neuf mois, et ce n’est pas toi qui l’a sorti du ventre, je ne vois pas comment tu peux ressentir ce qu’une femme ressent lors d’un accouchement. »
Végéta fixait toujours le bébé. Il semblait lui tendre les bras. Il hésita, et si Songoku entrait d’un seul coup et qu’il le prenait sur le fait ? Quelle honte…
« Alors, qu’attends tu ? Il veut faire la connaissance avec son papa, prends le, il n’attend que ça.
-Mmm je pourrais le serrer trop fort et le tuer, je ne préfère pas…
-Hahaha, avoue que tu as peur que quelqu’un entre et te surprenne !
-Non, ce n’est pas cela pff »
Il se résigna, ne voulant pas se faire marcher sur les pieds. Mais, comment ça se porte, un bébé ? Il ne savait pas par où commencer. Finalement, Bulma se leva, difficilement, prit son fils dans ses bras pour montrer à Végéta et lui mit dans les bras.
« Surtout, veille bien à ce qu’il y ait ton bras sous son cou sinon sa tête pendrait dans le vide, et c’est moyen pour un petit bébé. »
Végéta s’exécuta et prit soin de son bébé. Bulma regretta de ne pas avoir un appareil photo sous la main car Végéta qui portait son fils, il aurait fallu immortaliser cette image, mais bon tant pis, elle l’avait vu faire, c’était le principal. Maintenant, elle savait qu’il avait accepté son fils, même s’il en baverait avec lui, car il avait la ferme intention de l’entraîner dès ses premiers pas, aux arts martiaux.
Végéta s’assit doucement à côté de Bulma, il n’était pas dans son assiette. Bulma le comprit et reprit Trunks dans ses bras. Là, leurs regards se croisèrent. Ils étaient tous les deux très amoureux, et très heureux, malgré l’apparence de certain…
3 mois passèrent, Bulma était heureuse : elle avait un « mari » et un magnifique fils, qui était déjà fort comme tout.
Le jour « J » arriva, Végéta partit tôt dans la nuit, ne pouvant plus supporter les cris de son fils. Il s’entraîna encore jusqu’au lever du jour, se reposa un peu, loin des hurlements de Trunks puis partit en direction du lieu de rendez vous, pour rejoindre ses « amis » et combattre l’ennemi.
FIN